Did you have good craic?
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Ce matin en me réveillant j’avais un terrible mal de crâne. La faute aux quelques glaces chocolat - pistache que j’avais ingurgitées la soirée précédente en compagnie d’une personne que je nommerai pudiquement «gerbille rousse » afin de garder son anonymat.
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J’ai observé chez ce petit rongeur genevois quelques petites fautes de français. Moi-même étant victime du même syndrome je ne peux pas vraiment l’en blâmer. Ce qui paraissait impossible devient bel et bien réalité. En effet, en étant plongé de façon permanente dans un monde anglophone, on a tendance à réinventer le français. Un exemple amusant de ce phénomène est la phrase « what’s the craic » qui devient en français « c’est quoi le craic ». Phrase uniquement compréhensible par des francophones vivants à Dublin.